Rose C. Rencontre avec les extraterrestres 1ère partie

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Excellent article à lire afin de découvrir une nouvelle théorie sur l'origine de l'être humain sur Terre.


Rose C. racontait son incroyable contact du 3ème type dans son ouvrage : « Rencontre avec les Extraterrestres ».



Plusieurs ufologues, impressionnés par l'apparente sincérité de la jeune femme et par les traces physiques qu'elle a engendré, ont enquêté sur ce cas exceptionnel. La synthèse des documents sur une affaire de plus de 50 ans !
 


Rencontre avec des entités inconnues



C'est le 11 avril 1952 que Rose C., alors âgée de 24 ans, eut sa 1ère expérience de contact avec des êtres étrangers à notre planète.





Ce jour-là, elle s'était rendue à bicyclette, accompagnée de ses chiens, dans le cabanon isolé que possédait sa famille en pleine garrigue, à quelques kilomètres de Nîmes. Peu après minuit, elle fut tirée de son sommeil par le grattement de patte de l'un des chiens contre la porte du cabanon. Il réussit à soulever le loquet et à ouvrir la porte, après quoi il s'élança silencieusement au-dehors. L'autre chien lui emboîta le pas et, sans un seul aboiement, tous deux disparurent dans l'obscurité. Encore à moitié endormie, Rose se leva, enfila son imperméable, attrapa sa lampe de poche et sortit du cabanon. Elle venait de franchir quelques mètres en direction de l'autre cabanon, celui qui ne contenait que quelques vieux livres vermoulus, lorsqu'elle fut éblouie par une violente lumière blanche, comme une sorte de flash. Elle entendit une voix plutôt claire et posée dire :



 « Que faites-vous ici ? »



« Et vous-même ? »,



Répliqua-t-elle en s'adressant au jeune homme qui se tenait en face d'elle, après avoir braqué le faisceau de sa lampe de poche sur le visage de ce dernier. Cet individu, mesurant environ 1m75, ne semblait manifester aucune agressivité envers elle. Elle déclara qu'elle était là sur ses terres et qu'elle aimerait savoir ce qu'il y faisait à pareille heure. Elle demanda où étaient passés ses chiens. Ces derniers réapparurent au moment où elle posait la question ! Elle entendit un léger bruit derrière elle, qui la fit se retourner et hurler de frayeur. Un être de 2m30 à 2m40 de hauteur se tenait près d'elle et l'attrapa par le cou avec des mains énormes…





Les géants





Les géants et leur interprète humain…



Il y avait 2 “géants” : le plus grand des 2 s'adressa au jeune homme qui était avec eux dans une langue incompréhensible. Ce dernier déclara à Rose qu'elle n'avait rien à craindre d'eux, qu'ils étaient pacifiques, et que ses amis voulaient seulement savoir si elle avait quelques livres à leur donner. Alors qu'ils se dirigeaient tous les 4 vers l'autre cabanon (où se trouvaient les vieux livres), un 3ème géant apparut. Fait étrange, les chiens allèrent à sa rencontre comme s'ils le connaissaient bien.



A la question posée par Rose sur la provenance des visiteurs, l' homme répondit, en levant les yeux vers le ciel, qu'ils venaient “de là-haut”, mais ni de la Lune, ni de Mars. Elle demanda ensuite comment ils étaient venus sur Terre ; l'individu braqua alors un court instant le faisceau d'un appareil sur un coin du terrain qui s'illumina brusquement comme en plein jour. Rose aperçut alors un énorme objet circulaire, d'un gris mat, couleur ardoise, qui avait la forme d'un immense canotier et qui semblait en suspension dans l'air à environ 1 m du sol, sans appui ni ancrage sur la terre ferme.



Elle ouvrit la porte du réduit et les 3 géants lui emboîtèrent le pas. Ces géants étaient beaux, avaient la peau mate et ressemblaient un peu à des Hindous. Ils étaient vêtus d'une combinaison claire métallisée et équipés de sortes de pataugas. Il sembla à Rose qu'ils devaient chausser au moins du 60 ! Celui qui paraissait être le chef portait au haut du front un objet scintillant ressemblant à une grosse pierre précieuse hémisphérique légèrement allongée. Autour du cou passait une courroie à laquelle était accrochée à la hauteur de l'estomac une boîte noire équipée de boutons. L'homme, qui parlait un français parfait, servait donc d'interprète aux 3 géants.



Ces derniers expliquèrent qu'ils venaient d'un autre monde. Leur stature mise à part, ils auraient pu passer, ainsi que je viens de le préciser, pour des Hindous. 2 d'entre eux étaient des athlètes dans la force de l'âge, alors que le 3ème, qui semblait être le chef, paraissait nettement plus âgé. Il portait sur le front la demi-sphère” ci-dessus évoquée, laquelle ressemblant à « une bille de verre noire coupée en deux »…



L'homme-interprète précisa à Rose qu'il avait été contacté par ces créatures 20 ans auparavant, alors qu'il était instituteur et âgé de 25 ans. Rose lui ayant fait remarquer qu'il ne paraissait pas son âge, il répondit que le temps, “là-haut”, passait beaucoup moins vite…





Une étude scientifique et sociologique de la Terre



L'interprète lui présenta un grand sac que portait l'un des géants ; il l'entrouvrit pour montrer son contenu : des souches d'oliviers, d'amandiers, de thym, divers objets de valeur et quelques pierres. Rose ayant objecté qu'il n'y avait dans ce sac rien ne justifiant un aussi long voyage, son interlocuteur répliqua qu'ils recueillaient des échantillons en divers endroits de la planète, ce qui leur permettait d'évaluer les dégâts occasionnés par les bombes ayant explosé au Japon. L'instituteur expliqua donc, échantillons à l'appui, qu'ils étaient là pour effectuer des prélèvements de minéraux et de végétaux, afin d'évaluer la gravité des conséquences des explosions atomiques. Ce fut pour lui l'occasion de dénoncer le comportement destructeur et irréfléchi de l'Homme, son comportement insensé envers non seulement ses contemporains, mais aussi les générations futures.



Il énonça aussi quelques vérités au sujet de certains grands hommes, dont la grandeur s'était construite sur d'immenses massacres et sur d'infinies misères. Quand Rose demanda pourquoi les extraterrestres n'intervenaient pas, l'instituteur lui expliqua que chaque fois qu'ils avaient tenté de le faire, rien de bon n'en avait résulté. Lors de cette rencontre particulière, Rose leur donna un exemplaire du « Comte de Monte-Cristo » (d'Alexandre Dumas), de très vieilles revues d'une association de médaillés militaires, ainsi que le journal de mode qu'elle venait d'acheter.



Rose demanda à son interlocuteur humain s'il n'avait pas pensé à sa famille quand il était parti avec les visiteurs de l'Espace ; il répondit qu'il n'avait pas de proches parents, que personne ne s'était inquiété pour lui, à part quelques-uns de ses élèves. A la question : « Vous n'avez jamais regretté d'avoir quitté la Terre ? », il répondit : « Au contraire, on gagne beaucoup en la quittant ». Le jeune homme demanda à Rose si elle voulait venir avec eux. Elle eut peur que les géants l'enlèvent dans leur machine. Elle pensa à son père âgé et à sa petite fille qu'elle aimait tendrement.



Elle répondit qu'elle voulait rester sur Terre. A ce moment-là, le géant à la pierre sur le front s'adressa à l'instituteur qui traduisit sa question. Il voulait savoir qui étaient ce vieil homme et cet enfant qu'il a vus dans les pensées de Rose. C'est à cet instant que cette dernière prit conscience que le géant était télépathe.





De lointains ancêtres !



Elle leur donna des détails sur sa famille. Au bout de quelques minutes, elle constata que les chiens s'étaient gentiment installés aux pieds des géants. Rose demanda innocemment s'ils avaient des chiens. On lui répondit qu'ils avaient tout ce que nous avons sur Terre et que leurs ancêtres nous avaient amenés sur cette planète. La seule différence est que tout est plus grand chez eux : leurs chats ressemblent à de petits tigres et leurs arbres sont immenses. On lui dit que les humains descendent de ces êtres, et au fil des générations tout avait rapetissé.



La société d'où viennent les géants aurait ainsi aménagé une planète pour les renégats, lesquels furent déportés sur Terre. L'instituteur expliqua à Rose que des milliers d'années auparavant, les extraterrestres avaient pris possession de la Terre dans le but d'en faire une sorte de bagne destiné à ceux des leurs qui s'étaient rendus coupables de divers méfaits. L'humanité actuelle descendrait donc de ces exilés !


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Ces êtres lui dirent également avoir amené notre satellite, la Lune ! Ils la trouvèrent dans une autre constellation et la transportèrent jusqu'à notre système solaire, la plaçant en orbite artificielle autour de la Terre. Le chef des visiteurs fit à l'intention de Rose une démonstration de lévitation et de téléportation. Alors qu'ils se trouvaient à l'intérieur, le chef des géants actionna les boutons de la “boîte” qu'il portait, dématérialisant une pierre qui se retrouva à l'extérieur de la bâtisse, sans que la porte eût été ouverte ! De même, il souleva ensuite à distance de grosses pierres qui flottèrent en l'air comme des ballons. La jeune fille déclara qu'une grande sagesse émanait de cette impressionnante créature.



Elle apprit également que la Lune du monde de ces visiteurs-ancêtres est 3 fois plus grosse que la nôtre, et on lui révéla que tous les 12.000 ans environ la Terre subit un cataclysme déclenché par la bêtise des hommes. Il confia à Rose qu'en 9405 av. J.-C., la Terre avait été ravagée par un cataclysme provoqué par les humains. On notera que cette date correspond fort bien à l'époque de la dernière destruction de l'Atlantide, les dates données par la plupart des sources « canalisées », notamment, tournant autour de 9000 à 10.000 avant notre ère. En outre, si les humains de l'époque ont été à l'origine de la disparition de leur civilisation, cela signifie qu'ils avaient une science et une technologie avancées…





Des traces physiques et psychiques de la rencontre rapprochée



Le séjour sur Terre étant épuisant pour leur organisme, les entités s'apprêtèrent à repartir : ils montèrent dans le vaisseau, qui décolla et disparut dans un bruit assourdissant, en créant une zone de forte turbulence.



A la suite de cette rencontre, Rose eut le sentiment de contacts psychiques répétés avec les personnages qu'elle avait rencontrés. Elle s'aperçut qu'elle avait, le soir, des flashs dans son cerveau, diverses inscriptions apparaissant sur un fond violet. Elle eut aussi des prémonitions de catastrophes, lesquelles se produisirent effectivement peu après.



Plusieurs personnes, dont Charles Gouiran, ont constaté chez Rose, vers le milieu des années 1970, la réalité de phénomènes de pré-cognition ou de perception extrasensorielle. On notera que ce témoin privilégié a conservé pendant sa vie une trace tangible et indélébile de cette aventure : aussitôt après cette la rencontre du 3ème type, Rose se surprit à se masser instinctivement l'annulaire droit.



Quelque temps après, regardant ce doigt, elle découvrit avec stupéfaction qu'il était aussi long que le majeur ! Elle compara avec sa main gauche et parvint à la conclusion qu'à la suite de ce contact, son annulaire droit avait poussé, probablement de 8 ou 9 millimètres ! Cet annulaire droit avait grandi au point d'atteindre en quelques semaines la taille de son majeur !



Durant les 48 années ayant suivi son contact, de nombreux témoins ont confirmé que Rose possédait effectivement désormais 2 majeurs à la main droite. De plus, il y avait, au centre de la paume de la même main, une cicatrice d'environ 1 cm à 1,5 cm. Cette cicatrice protubérante ne s'est pas effacée au fil des ans. En ce qui concerne l'allongement du doigt d'une main, il s'avère nécessaire de faire le rapprochement avec d'autres cas similaires.



Le 1er  cas, rapporté par Joël Mesnard, s'est produit vers le mois d'avril 1969, à Balizac (Gironde). Alors qu'elle avait à peu près 17 ans, Catherine fut une nuit interrompue dans son sommeil. Elle conserve un vague souvenir de petits personnages, de couleur claire, près de la cheminée. Elle se cacha sous les couvertures. Le lendemain matin, elle portait à la cheville gauche une blessure affreuse et toute noire. Plusieurs médecins constatèrent l'existence de cette plaie. Cette blessure se cicatrisa avec une lenteur extrême, le processus de cicatrisation ayant duré à peu près 1 an et demi. Joël Mesnard ayant mentionné le cas de Rose C., Catherine tendit sa main droite : l'annulaire avait, comme chez Rose, une longueur anormale. Elle présentait donc la même anomalie que Rose C., au même doigt.



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